« FORETS VERTICALES ET METROPOLES BIODIVERSES » / LYON

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D’ici 2030, 60 % de la population mondiale devrait vivre dans des zones urbaines :
- Les villes consomment 75 % des ressources naturelles de la planète et représentent plus de 70 % des émissions mondiales de CO2.
- Les émissions cumulées de CO2, de méthane et d’autres gaz à effet de serre déterminent en grande partie le réchauffement moyen de la surface de la planète.
- Les villes, qui sont en grande partie responsables des problèmes liés au changement climatique, ont la possibilité de devenir une partie intégrante de leur propre solution, en augmentant le nombre de forêts et d’arbres qui peuvent « combattre l’ennemi » sur son propre terrain (la ville), en utilisant le CO2 comme engrais.
- L’augmentation du nombre de forêts et d’arbres dans les villes du monde peut contribuer à absorber le CO2, à réduire considérablement la pollution, la consommation d’énergie et l’effet d’« îlot de chaleur urbain », à accroître la biodiversité des espèces vivantes et à rendre les villes plus sûres, plus agréables, plus saines et plus attrayantes.

La « forestation urbaine » propose de :
- maitriser le développement de la nature en ville, et en particulier pour les forêts verticales.
- multiplier l’architecture comme support du végétal - les forêts verticales dans les villes.

Afin d’aller plus loin dans l’accroissement de la place de la nature en ville, il convient de développer une logique de territoire.
Chaque métropole à des potentiels qui peuvent être exploités pour mettre en place des îlots et corridors de nature en ville. Il s’agit de mettre en réseau cette nature. Des exemples sont proposés, Milan, Tirana.